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Réponse à un preux !!
Vous: humble chevalier,
Qui me flatter par votre cour,
Tel un grand troubadour.
Comment pouvez-vous de moi être épris?
Alors que je ne vous ai que souris !
Vous me semblez être un damoiseau d'honneur,
Alors n'écoutez point votre cœur.
Oubliez vos sentiments à mon égard,
Et voyez moi d'un autre regard,
Car aimer une reine:
Ne peut vous causer que des peines.
Mirez vers vos lendemains,
Et n'ayez crainte mon cher paladin:
Vous trouverez votre dulcinée.
-Moi-
(14/06/08)
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A vous ma bien-aimée ...
Très belle amie,
De vous : mon cœur est éprit.
Et ce depuis de nombreuses années,
Même si vous m’êtes plus âgée.
J'ai succombé à votre charme,
Et peu importe mes armes:
Mon âme vous ai entièrement dévouée,
Car vous possédez toute la grâce des fées.
Votre époux étant le roi,
Je ne peux défier la loi.
Mais sachez que le moindre de vos regards,
Me rendent totalement hagard.
Je souhaitai vous faire part de cet aveu,
Afin que les dieux
Puissent m'aider à conquérir
Votre si majestueux sourire.
-Moi-
(10/06/08)
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Solitude d'un arbre ...
Je suis un arbre solitaire,
Qui a vu mourir ses frères.
Les hommes sont passés,
Et on tous saccagés.
Il ne reste que moi,
Pour vaincre ses hors-la-loi.
Et tenter de ramener la vie,
Comme elle l'était avant leur arrivée.
Je suis le dernier de ma génération,
Et cela me donne des frissons.
Car c'est grâce à nous
Que vivent ses fous.
Je voudrais tant
Voir le reflet de mes enfants,
Dans ce si magnifique étang
Qui a lui aussi perdu son brillant.
-Moi-
(08/06/08)
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Ma fée, mon amie ...
Ma fée,
Tu as toute mon amitié,
Car ta grande générosité,
M'apporte beaucoup de gaieté.
Ma grande sœur,
Tu as sue atteindre mon cœur,
Parce que ta douceur,
Me remplie de bonheur.
Ma poétesse,
Tu sais apaiser ma tristesse,
Car ton allégresse,
Me couvre de caresses.
Mon amie,
Tu le seras pour la vie,
Parce que quand tu souris,
Plus rien n'est gris.
Je t'aime Morganne,
Et ce de toute mon âme.
Merci madame,
D'être une aussi jolie femme.
-Moi-
(01/06/08)
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Fin d'un amour abîmé...
Amour décharné,
Oubli de l'être aimé,
Sentiments détériorés.
Manque de passion,
Qui faisait notre union.
Émotions parsemées,
Souvenirs désensablés,
Perte de personnalité.
Manque d'amour,
Qui emplissait nos jours.
Froide sensualité,
Âme empoisonnée,
Triste réalité.
Manque d'esprit,
Qui remplissait nos vies.
Ton regard n'est plus qu'un vide:
Dans lequel dans s'abîme
Et par qui je déprime...
...ADIEU...
-Moi- (pure fiction)
(21/04/08)
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Amour maternel...
Ma chère maman,
Je t'aime infiniment,
Et c'est en silence,
Que je te le cris:
Sentiments jamais dit,
Mais pourtant écrit.
Ce poème est présent pour te prouver
Combien je peux t'aimer.
Émotions de tous les jours,
Qui me font croire en un "toujours".
Grandeur de ton âme,
Qui me pousse à devenir "femme".
Complicité de chaque instant,
Qui apaise mes tourments.
Amour familial,
Qui n'aura jamais d'égal.
-Moi-
(19/04/08)
PS: Me voici avec ma maman !
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Fantasme de mes nuits...
Les nuits se succèdent,
Et mon rêve reste le même:
Je t'y vois m'embrasser
Et ce avec beaucoup de sensualité.
Nous sommes sur cette plage:
Allongés sur le doux sable du rivage,
Avec pour seuls témoins de notre union:
Les étoiles et les vagues se perdant à l'horizon.
La lune perce l'obscurité,
Pour illuminer notre soirée.
Je sens ta chaleur m'emplir le cœur,
Et effacer tous mes malheurs.
Mais le soleil se réveille,
Et je sors de mon sommeil,
En réalisant que ceci n'est qu'un songe
Dont je désirerais faire mon monde.
-Moi-
(16/04/08)
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Harmonie d'un amour ...
Partition de mon cœur
Battant avec passion.
Les notes y virevoltent
Sous le charme du tien.
Mes palpitations successives
Symbolisent le bon tempo:
Celui auquel ta vie doit se fier,
Pour que nos deux âmes se retrouvent.
Le tendre rythme de ton cœur
Résonne calmement en moi
Et ce comme un écho voilé
Qui apaise tous mes maux.
Le vent de notre amour
Recréera la symphonie
Qui m'a fait t'aimer et ce
Dés notre premier regard.
Concert de nos deux esprits
Qui agissent à l'unisson.
Et dont les destins sont liés
Par un chemin tout tracé.
-Moi-
(12/04/08)
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Défaite de mon âme !!!
Perdue dans les ruelles sombres
De mon subconscient,
Je divague durant la nuit.
Un esprit se joue de moi,
Et enlace mon âme
Pour la faire sienne.
Mais cela ne fonctionnera pas,
Je saurais me battre
Et faire face à son dilemme.
Je ne veux pas abandonner,
Et perdre toutes ses personnes
Auxquelles je tiens.
Puis il change d'apparence,
Afin de m'être plus familier
Et ainsi m'appaître en ami.
Il prend les traits d'une fée,
Petit être fantastique
Qui ne m'évoque aucun soupçon.
Je succombe donc à son charme
Sans hésiter une seconde
Ce qui me plonge dans le néant.
J'essaye de m'en extraire,
Mais c'est trop tard:
Mon heure est arrivée !
Je croyais être forte et battante,
Mais j'avais complètement tort,
Je ne suis qu'une poupée
Dont le destin est le maître...
-Moi-
(03/04/08)
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Plagiat !!!
Je n'arrive plus à écrire,
Ma plume va peut-être bientôt mourir.
Mes pensées sont chamboulées,
Depuis que j'ai été plagiée.
Ils ont volé l'essence de mes mots,
Juste pour paraître beaux.
Ils se sont appropriés mes maux,
En apposant à la fin leur pseudo.
Les vers ne viennent plus,
Je suis totalement perdue.
La confusion hante mon esprit,
Je me sens trahie et salie.
Je suis telle une enfant abandonnée,
Car je n'ai plus d'idées
Pour vaincre tous ces copieurs,
Qui font mon malheur.
-Moi-
(14/03/08)
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