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Que le spectacle commence
Et ce soir j'ai l'honneur
De vous présenter,
Pour votre plus grand bonheur
L'histoire, qui ne cesse de se répéter :
L'histoire de l'éternel :
La vie des mortels !
Les artistes ne connaissent pas leurs destins,
Et pourtant savent qu'ils finiront tous par mourir :
Le porteur de la faux leur tendra la main,
Afin qu'ils rejoignent ceux dont ils ont encore le souvenir,
Et ainsi finira leurs tristes et courtes vies,
Car il faut l'avouer: elles n'étaient que mélancolie ...
Les acteurs entrent en scène,
Les musiciens se préparent,
Aujourd'hui c'est le grand jour.
Sous le ciel gris,
Imposante comme l'est une reine
L'horloge de Big-ben nous dit qu'il est tard.
La mort du haut de sa tour,
Viens pour sa triste besogne : prendre la vie.
Du fond de son lit le vieux ne se plaint :
Mais il sait que demain il ne mangera plus de son pain.
Les choristes écoutent la musique résonner,
Les comédiens jouent leur rôle autant qu'ils le peuvent,
Mais rien n'y fait la fatidique heure est venue :
Ils vont partir: rabaisser le rideau,
Afin de se rassurer et de quitter ce monde avec sérénité,
Car le spectacle est fini, même si point ils le veulent.
Ils doivent se résoudre à cette triste issue,
En saluant gracieusement pour clore cet ultime numéro.
C’était leur unique quart d’heure de gloire,
Et ils le garderont à jamais dans leur mémoire ...
Noir-fluo et Moi
(17/12/08)
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Unis pour l'éternité
Je m'ennuie de ton sourire, je pleure des larmes d'amour :
Mais rien n'y fait : 6 000 km nous sépare encore.
Je n'attend que de revoir tes douces lèvres,
Pour enfin les goûter et ne plus te lâcher.
Mon cœur battant de passion à beau être loin du tien,
Dans mon esprit tu es à tout jamais à mes côtés,
Et un jour je viendrai rejoindre ma flamme,
Qui fais tellement chauffer mon cœur d’amour.
Nos yeux plongeront à nouveau l'un dans l'autre,
Et plus rien ne pourra les disjoindre.
Nous ne serons plus qu'un seul et même être,
A qui le futur sourira et que les peines oublieront.
C'est du moins notre avenir prochain,
Car jamais personne ne nous séparera,
Toi et moi serons éternellement unis,
Notre amour sera sans aucune anicroche.
Nos coeurs tressailliront à l'unisson,
Et le métronome fera battre la mesure.
Il s'inclinera à chacun de nos baisers
Et sera en fête, lors de notre mariage.
Unis jusqu’à ce que la mort nous sépare,
Cependant mon amour sera éternel,
Nos âmes voleront toujours ensemble,
Indissociables par l'exquise sensation de bonheur.
Même dans l'au-delà : nos âmes danseront encore ;
Elles garderont la joie de se mélanger ;
Et sans trêve, nous regarderons la vie des autres :
Tout en consumant là haut notre volupté.
Silver1216 et Moi
(17/12/08)
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Amour fané
On échange un baiser à l'odeur des tendresses,
On s'invente, s'aime, s'épouse dans l'ivresse,
Les jours nous sourient et vacillent sur tout notre humeur,
Un couple passionné fondu aux fusions des chaleurs.
On partage tout : nos joies, nos peines, nos rires,
Rien ne pourra nous enlever tout ces moments de plaisir,
Car nos coeurs sont à jamais reliés par cet inaudible battement,
Qui sait tellement réconforter nos pleurs lors des tourments ...
M'aimes-tu encore sur les lèvres d'autrui,
Je vois sur tes mensonges : d'adultères envies,
Et les cris du matin résonnent violemment,
Sur les pas de l'amour; sur ses coups m'achevant.
Je parcours ce corps imaginant le tien,
Recherchant les défauts de mon amour : les miens.
Mais rien n'y fait : mes sentiments ont disparus,
Et je te quitte sans revoir ton visage abattu.
On échange un jour, toujours,
Par des sentiments, de l'amour,
Un échange : non pas un prêt
J'aime, reprendre c'est voler !
Tony et Moi
(15/12/08)
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De si beaux accords
Assoupie sur ce scintillant tapis de fleurs,
Mes yeux s'ouvrent subtilement à ton charme
Et transperçant délicatement mon doux coeur,
La chaleur de ton regard dessine ton âme.
Je suis hypnotisé dans le bleu de tes yeux,
Et ne peux détourner ce regard amoureux.
De cette intensité sont tombées mes défenses ;
Te laissant libre entrée dans mon âme en confiance.
Aucune paroles n'éclosent de mes lèvres,
Toutefois, mon esprit est enchaîné au tien.
Il veut te réconforter, assouvir tes rêves :
Ne plus être détourné de tes douces mains.
J'ai souvent entendu qu'à deux tout est possible,
Que rien n'est défendu, que tout est accessible.
Est-ce vrai, est-ce faux ? Je ne peux le savoir
Mais quand ce sont tes mots, je me plais à les croire ...
Nos maux ont disparus, ensemble nous sommes plus forts ;
Nous étions pourtant tout comme le jour et la nuit :
Rien ne nous laissait entrevoir de si beaux accords :
Entre nos corps, nos espérances, nos envies ...
Kazan et Moi
(12/12/08)
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Toi : mon alter-égo
Tu es mon double masculin,
Celui dont je désirerai tenir la main.
Ton coeur bat en moi
Et son rythme emplifi le mien,
Comme un métronome
M'indiquant le bon tempo.
Tu es mon autre moi,
Celui dont j'aimerai entendre la voix.
Ton âme
Protège la mienne,
Telle une bulle
M'enveloppant de sa pureté.
Tu es mon frère jumeau,
Celui dont je souhaiterai apaiser les maux.
Nos esprits sont liés,
Comme s'ils n'étaient qu'un.
Ma vie t'es dédiée.
Sans toi: je me sens abandonnée.
Tu es celui dont dans l'avenir,
Je voudrais voir le sourire.
Afin de le graver en moi,
Comme le plus beau souvenir.
-Moi-
(29/03/08)
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Ma vie : tes écrits
La nature était ma maison,
Mais ta main m'a permis
De découvrir une vie de passion.
De mon arbre
Je suis tombée,
Mais je ne veux plus y retourner.
Car désormais, c'est sous tes doigts que je vis,
Et quand tu me touches
Cela apaise tes soucis.
Parce que grâce à ma peau
Tu retrouves le sourire
Et oublie tous tes maux.
Mon sang est l'encre
Qui coule en toi
Et qui imprègne le moindre de tes pas.
De mes bras
Je t'enlaces.
Et te protège
Malgré les combats.
De mes yeux
J'entrevois ton talent
Si merveilleux
Qu'il enchante mes jours.
De mes lèvres
S'échappe ce que tu n'arrives à dire,
Même lorsque tu cries
Entourée de la foule.
Je suis juste une feuille
Mais l'écriture est ma seule destinée,
Et c'est par tes vers que j'existe.
-Moi-
(27/02/08)
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Vie d'une seconde peau
Je suis là ...
Je te protège de mes bras ...
Je t'ai accueilli,
Dés tes premiers cris.
Et dés que tu m'as souris,
J'ai su que c'était ça: la vraie vie.
Puis tu grandis,
Et arrive les premiers soucis :
Les cauchemars,
Et la peur des placards !
Tu te caches donc sous ma peau,
Pour que j'apaise tes maux.
Je suis toujours là ...
Je veille sur toi ...
Maintenant que tu as vieillies:
Je te regarde d'un air coquin,
Et je cache d'un air malin,
Tous tes câlins avec ton mari.
Désormais ton existence n'as plus de charme,
Et le moindre tracas te désarme.
Car depuis que tu m'as souhaité la bienvenue
Dans le monde des gens de la rue :
Je ne peux que te réchauffer le coeur,
Afin que tu oublies ta terreur.
Je suis encore là ...
Je te réconforte l'âme ...
Puis arrive la conclusion
D'une triste histoire sans ambition.
Je ne suis plus qu'une couverture ;
Je deviens ton humble linceul :
Tel un arbre mort qui a perdu ses feuilles,
Je m'en vais de cette terre rempli d'amertume.
Je ne suis plus ...
Notre vie s'arrête ainsi ...
-Moi-
(23/02/08)
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Moi ... Votre talisman
Tu me serres contre ton cœur,
Pour te remémorer des instants de bonheur.
Tu me tiens dans tes mains,
Lorsque tu doutes de tes lendemains.
Tu m'embrasses très tendrement,
Parce que tu aimerais remonter le temps.
Tu joues avec mon lien,
Car tu voudrais retenir ton chagrin.
Je représente la nation
De l'homme de ta vie.
Je suis le symbole de votre union,
Et ce jusqu'à l'infini.
Malheureusement :
Je ne suis qu'un collier.
Mais cela ne t'empêche pas
De sentir en moi: son cœur qui bat ...
-Moi-
(22/02/08)
(Ne vous fiez pas à l'illustration)
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Nous et notre amour
Toi et moi : on s'est pas rencontré comme ça.
Nous deux on a eu la joie,
De se voir pour de vrai.
Toi et moi : c'est comme ça qu'on communique.
Nous deux c'est par ce moyen,
Qu'on vit des instants magiques.
Plus je te parle ...
Et plus je t'aime.
Plus je t'écris ...
Et plus tu me manques.
Toi et moi : on veux se toucher.
Nous deux : on veux se retrouver,
Et plus jamais être séparés.
Toi et moi : on garde l'espoir.
Nous deux : on croit en la force,
De notre histoire.
Plus je te vois
Et plus je t'aime.
Plus je pianote (sur mon clavier) ...
Et plus tu me manques.
Nous : on en a marre de cet écran
Qui nous empêche de vivre pleinement,
Tout l'amour que l'on ressent.
Je t'aime de plus en plus chaque jour ...
Même si la distance est présente entre nous ...
Car au plus profond de mon coeur ...
Je ressens ce manque de toi.
-Moi-
(14/02/08)
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A quoi bon ce sentiment ?
J'ai la haine contre ma jalousie.
J'ai peur qu'elle me pourrisse la vie.
J'ai la haine contre elle,
J'ai peur qu'en moi elle soit éternelle.
J'ai la haine contre ce sentiment,
Qui ne m'apporte que des tourments.
Et qui me fait craindre le pire,
Au sujet de mon avenir.
J'ai la haine contre cette émotion,
Qui me procure de drôles de sensations.
Et qui me donne envie de crier :
"Laisse-le, il est fait pour être à mes côtés !"
J'ai la haine contre ma jalousie.
J'ai peur qu'elle ne me laisse jamais de répit.
J'ai la haine contre moi-même,
Même si au plus profond de mon coeur :
Je sais qu'il m'aime,
Et qu'avec lui ça sera toujours le bonheur.
-Moi-
(08/02/08)
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