• Voluptueuses envies ... avec Huoma66

    Voluptueuses envies

    Sous le saule pleureur de nos souvenirs,
    Au bord de la rivière de ton cœur,
    Je me prends à rêver de la chaleur de ton corps,
    Sentant mon âme s’envoler jusqu’à toi,
     
    Les songes vaporeux de notre histoire
    Dérivent et viennent se nicher en mon sein ;
    Avant de s'évaporer comme les grosses bulles de savon
    Éclatants fébrilement en touchant le ciel de ton amour.
     
    Le vent soufflant dans les branches de nos vies,
    Emporte nos cœurs vers d’autres contrées,
    J’attrape tes mains afin de ne pas te perdre dans ces déferlantes,
    Car se sont les courbes de ton corps qui me font frémir.
     
    Les vagues de sensualité s'échouant sur ta peau
    Ont eu raison de ma sereine réflexion,
    Elles ont étreints les secrets de ma pureté ;
    Et c’est ainsi que je n’ai pu résister à ta douceur.
     
    Je caresse le satin de ta peau du bout de mes doigts,
    Effleurant de mes lèvres les contours de ton amour,
    Je n’ai nul désir plus ardent que celui d’être en toi,
    Tu es la vague d’un océan de plaisirs qui submerge l’écueil que je suis.
     
    Sous le halo du clair de lune de nos adieux chagrins,
    Nous avons perdus les limites de nos sentiments ;
    Les éléments se sont alors déchaînés en tempête de sensualité,
    Pour nous faire croire en des monts et merveilles éternels.

    Huoma et Moi
    (27/10/09)


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  • Nouvelle découverte ... avec Jfred

    Nouvelle découverte

    Regarde cet endroit affectueux,
    Tu l'a vois la clarté dans leurs yeux !
    C'est une famille qui y ait bâtit,
    Une vraie alliance pour la vie.

    C'est un nid construit brin par brin,
    Uniquement avec la chaleur de la main
    Pour y faire un refuge au petit matin,
    Quand les rêves furent incertains.

    La protection y ait sans faille,
    Et cela n'est qu'un petit détail.
    C'est un abri accueillant,
    Où la joie coule par ruissellement.

    S'il est un endroit où la paix demeure,
    Ce ne peut qu'être là, curieux promeneur
    Tes pas te guident vers un certain bonheur,
    Arrête toi, pour voir de la vie, les premières lueurs.

    C'est un lieu de partage, emplit de sentiments,
    Où tout présage : des relations amis-aimants.
    Alors viens nous rejoindre, fais cette découverte,
    Tu verras, tu ne seras pas déçu par cette nouvelle conquête.

    N'es tu pas convaincu par cette idyllique vision ?
    Viendras-tu de toi-même à la raison
    De l'amour naissant, comme naissent les floraisons
    Annonçant de leurs couleurs chatoyantes, une nouvelle saison.

    Jfred et Moi
    (27/10/09)


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  • Espoir d'idéal ... avec Morganne

    Espoir d'idéal

    La tête levée vers les étoiles, perdue,
    Je m'égare dans mes pensées telle une ingénue.
    Je voudrais t'avoir à mes côtés en cet instant,
    Pouvoir te dire à quel point je t'aime mon aimant.
     
    Toi à qui j'ai donné mon coeur, ma vie,
    Pour le bonheur et pour la vie à l'infini.
    Tracer avec toi le chariot lumineux de la nuit,
    Vestale vivante illuminée par tes plaisirs d'envie.
     
    Partageons nos rêves, nos désirs d'ailleurs ;
    Afin de contempler pleinement notre bonheur.
    Je veux tout de toi, tes gestes, tes bras ;
    Vivre notre amour dans la joie, avec éclat.
     
    Faisons de notre vie une acropole de douceur,
    Je serais ta cariatide soutenant le temple sans douleur.
    Tu seras mon Apollon, même si la vie te donnera,
    Comme à moi des rides avec le temps qui passera.
     
    Ensemble toutes les deux, rêvons à l'homme idéal,
    Sur mon chemin, tes yeux bleus, m'ont conquis, fatal.
    Moi, il ne m'est pas encore apparu, dommage
    J'attends la beauté intérieure tel le plus beau présage.

    Morganne et Moi
    (25/10/09)


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  • Aveux et arrières pensées ... avec Pyramide

    Aveux et arrières pensées

    Les mots m’ont échappé et ont franchi mes lèvres
    De notre entente je t’en conjure ne fais point la grève.
    Je n'ai pu me retenir, je me devais de tout t'avouer
    L'heure avait sonné, la vérité devait t’être révélée.

    Je ne pouvais supporter d’affronter ton regard
    Mon cœur s’en serait gelé, honteux et sans espoir
    Il aurait battu dans le vide, sans entendre un écho
    J'aurais du le couvrir de plumes pour lui assurer le repos.

    Ma franchise nouvelle t’a blessée, même plus encore
    Que mes secrets et mensonges derniers, ironie du sort.
    Elle s'est insinuée en ton cœur comme un poison
    Rongeant toutes les parcelles de ta compassion.

    Le dur remords me noyait sous tes convictions envolées
    Vagues meurtrières de haine et de rancœur consumées
    Tes paroles me brisaient l'âme, rompant ma naïveté
    Je brûlais de douleur sous les accusations de ta sincérité.

    Les larmes m’assaillirent, sur tes joues déjà elles roulaient,
    Torrents de pleurs couleur de sang, couleur noire, de jais.
    Elles perlaient sans cesse, heurtants mes lèvres closes
    Elles s'étaient tuent, rejoignants les tiennes dans cette pause.

    Je regrettais de ne t’avoir avoué plus tôt mes faibles raisons
    Déçue, tu l’aurais été, mais moins que de par ma trahison.
    J'aurais préféré tout te dire auparavant, te faire cet aveu
    Mais j'ai été trop faible, j'ai eu peur de briser nos vœux.

    Désormais je m’éloigne, je ne supporterais plus tes cris
    Tes peines sont autant de multiples poignards dans ma vie.
    Elles créent en mon sein de petites plaies béantes
    Qui ne se refermeront jamais, elles resteront sanglantes.

    Tes flots de larmes salées sont autant de pluies acides
    Sur mon cœur occis qui ne bat, alors plus rien ne décide.
    Tout s'est désagrégé autour de nous, si vite
    Qu'aujourd'hui, je me dois de prendre la fuite.

    Avec pour tout bagage, des souvenirs de tes rires si parfaits
    Tes sourires colorés, tes yeux scintillants, ta beauté.
    Je garde aux confins de mon corps tous ces rêves d'antan
    Tous ceux que j'avais fait pour nous, sans crainte du temps.

    Avec pour tout présage, tout plein d’idées nouvelles à l’avenir
    Tendrement enlacés dans mon cœur guérit, prêt à repartir.
    Ils resteront là, ne bougeront pas, en attente d'un geste de toi
    Espérant à jamais, un jour retrouver la douceur de tes bras.

    Sous l’arbre fleuri de nos rencontres ils resteront cachés
    Tels trésors miraculés du passé, sous son feuillage déposés
    Alors n'attends pas le printemps, son renouveau et ton émoi ;
    Viens, rejoins-moi et ensemble, oublions ce mensonge d'autrefois.
     
    Pyramide et Moi
    (18/08/09)


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  • Promenade enchanteresse ... avec Pyramide

    Promenade enchanteresse

    Un doux petit papillon s'est posé tendrement sur ma joue,
    Il voulait trouver un abri pour ces parties de vols fous.
    Mes pétales ont frissonné sous un brin d’air tout frais ,
    Ma corolle colorée s’est ouverte à ses murmures secrets.

    Nous avons joués tous deux sous les vagues du vent,
    Se chamaillant, poussés par la beauté du temps.
    Il m’offrit mille présents, telles gouttes de rosées…
    Trésors du monde et merveilleux instants passés.

    Il m'a même confié la raison de sa présence
    Il voulait m'ensorceler de sa douce essence.
    Allons, ne voulait-il donc point aussi me charmer ?
    Se prenait-il donc pour un mage, un grand sorcier ?

    Je n'ai point cru à sa mystérieuse confession
    J'ai préféré continuer nos passe-temps fripons
    Sur le fil de nos ententes et de nos simples amitiés
    Nous nous envolâmes sur la brise en un rêve éveillé.

    Nous parcourûmes la grande étendue des nuages,
    Tous deux, lui accroché simplement à mon visage
    Cumulus et nimbus nimbaient nos yeux d’un voile
    Tout se fit flou, je m’éveillais sous les étoiles.

    La lune veillait tendrement sur nos vies
    Elle prenait soin de nos coeurs sans un bruit.
    Seul son cœur me susurrait des mots tendres,
    Il me conviait, disait ne plus pouvoir attendre…

    Je pris donc les devants dans cette aventure
    Et ouvrit grand mes pétales à ce petit butterfly mature
    Lui confiant mon âme, mon petit bouton jaune de pollen
    Il me butinait ardemment, avec passion… songe d’Eden.

    Notre osmose fût totale sous ce beau et grand ciel,
    Et après cette danse tendre et amoureusement sensuelle
    Nous partîmes sur la voie d’un arc-en-ciel féerique
    Traçant ensembles nos épopées du cœur magiques.

    Nos arabesques mirifiques furent étincelantes
    Et suivirent les courants de poudres phosphorescentes.
    Oiseaux aux mille couleurs et arbres mirobolants
    Nous accompagnèrent dans ces paysages étonnants.

    Mais la nuit stoppa soudainement notre excursion
    Et il fût l'heure de rentrer chacun dans notre maison.
    Famille aux aguets, questions par milliers, rires
    Mes pensées s’évadent au loin, près de lui… partir…

    Pyramide et Moi
    (18/08/09)


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  • Parti trop tôt ... avec Touteseule

    Parti trop tôt

    On m’a dit qu’un jour prochain, je ne me souviendrai plus de toi,
    Que le bonheur de ce chemin partirait en fumée loin de toi,
    Et c’est vrai que je ne me souviens plus de la beauté de ta voix,
    Je suis désolée, mais de t’avoir perdu si tôt au fond, j’ai froid.

    J'ai eu beau chercher un écho à mes mots dans la pénombre
    Tu ne m'as pas répondu ; je n'ai aperçu que mon ombre
    Elle était là, en attente d'un au revoir de toi, d'un baiser
    Mais c'est trop tard, tu as tout quitté sans même me l'avouer.

    Je me souviens parfois de tes éclats de rire, et même de tes sourires,
    C’est tout ce qu’il nous reste de toi, quelques clichés de souvenirs,
    J’ai si mal de t’avoir perdu comme ça, sans un au revoir, sans un adieu,
    Derrière mes sourires perlent ces larmes qui se cachent au fond de mes yeux…

    Elles resteront à jamais là, comme échouées en mon coeur,
    Prisonnières pour toujours des matérialisations de mon malheur.
    Je ne suis pas la seule à souffrir, mais les autres comptent peu
    N'ayant pas remarqué avant ce mal-être qui te consumait peu à peu

    Je n’y ai pas cru quand on m’a dit que tu n’étais plus là,
    Que tu ne reviendrais plus, que c’était comme ça,
    La vie m’a trahi comme jamais on l’avait fait auparavant,
    Si tu savais comme j’en souffre, tu me manque tant.

    Aujourd'hui, je ne veux que te rejoindre, où que tu sois
    En enfer, au paradis, peu importe quel est l'endroit
    J'ai l'envie insatiable de revoir sourire tes lèvres
    Alors c'est définitif, je m'en vais de ce monde tel un rêve.

    Touteseule et Moi
    (17/08/09)


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  • Lieu mystérieux ... avec Touteseule

    Lieu mystérieux

    Regarde où nous sommes rendues toutes deux
    C'est un lieu impressionnant et majestueux
    Je me demande ce qui se cache derrière ce taillis
    On dirait un vieil homme agenouillé, il prit.

    Observe la douleur dans ses beaux yeux azurés,
    Son pauvre cœur n’en peut plus de vouloir espérer,
    Il est en lambeaux, fissuré par des années de luttes,
    Aujourd’hui pourtant, il est si proche de sa chute…

    Il ne veut que sa fin, il n'en peut plus de se battre ;
    Pour lui, s'en est fini, il ne peut plus combattre.
    Il attend l'ouverture de la grande porte moirée,
    Pour rejoindre les anges et tous ses proches décédés

    « La vie est ainsi faite » essai t-il de se convaincre en vain,
    Son cœur blessé veut quand même continuer son chemin,
    Car sur la tombe de ses espoirs et de ses rêves sanglants
    Pousse cette fleur que même le désespoir ne peut faner avec le temps…

    Il prend donc son courage à deux mains
    Et avance péniblement vers son triste destin
    Il doit mourir ici et maintenant, il a fait son temps
    C'est trop tard pour lui, sa réincarnation l'attend.

    Alors il avance, une peine insondable au fond du regard,
    C’est si triste pour lui de dire adieu à son histoire,
    La douleur se fraye un chemin de ses joues à ses lèvres,
    Il cesse enfin de croire au destin, et abandonne tous ses rêves…

    Le voici désormais de l'autre côté de ce grand fossé,
    Il est mort et plus rien ne pourra le réanimer
    Il n'a su déjouer le sort et l'avenir a gagné
    Le voilà solitaire dans le pays des soi-disant contes de fées.

    Touteseule et Moi
    (17/08/09)


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  • Vie pour toutes les tailles ... avec Morganne

    Vie pour toutes les tailles

    Traversée du désert, sous la chaleur lentement,
    Dure loi du soleil de plomb même pour un géant.
    Les aléas de la nature n'épargnent personne
    Que l'on soit petit ou grand bonhomme.

    Les scarabées, tracent dans le sable rouge des arabesques.
    Minuscules dans cette étendue à certains plus gros funestes.
    Les dromadaires, eux, sans soif, avancent toujours mollement
    Dans ce paysage digne des plus grands itinérants.

    Traverser le guet du ruisseau qui dévale, dans les montagnes
    Sois fort soit grand, ne glisse pas sur les pierres non du mat de cocagne
    Fait bien attention à tes pas de jeune aventurier
    Tu verras, c'est ainsi que tu deviendras un grand boucanier

    La valeur n'attend pas le nombre des années,
    Un dicton-raison, appliqué à satiété.
    La grandeur n'est que dans le coeur,
    Encore ne faut-il pas faire preuve de rancoeur.

    Morganne et Moi
    (17/08/09)


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  • Relation découverte ... avec Morganne

    Relation découverte

    Le mensonge de notre amour m'a submergé,
    Il m'a engloutit dans ses tourbillons, m'a noyé.
    Dans les remous de la non chasteté,
    Les déferlantes de passion m'ont annihilée.
     
    Les vagues de nos rendez-vous cachés
    M'ont emporté trop loin de la réalité.
    Tout dans ma tête s'est retiré,
    Comme les marées de l'océan de l'infidélité.
     
    Ta femme qui se doutait de tout ; comme un tsunami
    Est entrée dans cette chambre, nous étions au lit.
    Consumant le mariage par toi souscrit,
    Nous étions pris, la preuve du délit.
     
    Elle n'a pu résister à cet ultime affront
    Et tel un lagon calme ; je lui ai demandé pardon.
    Désolée, mais je ne savais pas que ce fripon,
    Marié, il m'avait menti, mais que faire devant la passion.
     
    Ne rien voir,
    Ne rien vouloir croire,
    Preuves d'un amour clandestin,
    Mentir pour un moment sans lendemain.

    Morganne et Moi
    (16/08/09)


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  • Enigme d'une fin de vie ... avec Pyramide

    Enigme d'une fin de vie

    Tout est flou, tout est vague, tout s’efface et se disperse,
    Le monde est fou, la Terre s’évade et mes yeux s’exercent.
    Ils dérivent à contre sens du temps ; perdant toutes traces
    Les heures défilent trop rapidement et mon âme trépasse.

    Tout s’embrume et s’évapore dans les méandres du passé
    Aucune échappatoire à ces vues de mon être perdu, blâmé
    La dérive est proche, la mort presque certaine en ces lieux
    Et tout, autour de moi, commence à devenir gracieux.

    De l’ancien temps renaît lentement un monde nouveau
    Tout est beau, tout embaume, il n’y existe qu’idéaux,
    Les paysages deviennent divins, emplis de magnificence
    Et moi, pauvre humaine, je perds toutes traces de conscience

    Mais sous mes paupières, mes yeux observent pourtant,
    Ils découvrent un univers qui ne connaît que le présent.
    Ils partent à l'aventure, palpent toutes ces contrées sauvages
    Embaumant les parfums d'orient, et voguent au travers des âges.

    L’espace d’un instant, ils eurent la vision d’un monde parfait
    Hélas si différent de leur rude et accablante réalité,
    Ils perdirent tout contrôle sur leurs songes et leurs rêveries
    Et préférèrent mettre fin à toute cette atroce supercherie.

    La splendeur du moment eût tôt fait d’annihiler cette existence
    Que l’horreur du souvenir ne parvint à entraîner dans sa danse,
    Les trous en mon âme déchue ne firent que s'accentuer
    Et inlassablement, je devenais la noirceur de cette autre entité.

    Le désespoir me gagnait et s’insinuait en mon cœur
    Pour n’y incruster que gemmes de son fourbe malheur.
    La moindre clarté s'éteignait et se consumait en mon sein,
    Aussi vite qu'une braise ardente dans les cendres d'un défunt.

    Et le futur négligé m’apparut en une unique irruption,
    Ma seule destinée n’était qu’une trop pâle illusion.
    Les chances d'aimer ma vie étaient trop infimes ;
    Rembobiner ma mémoire n'aurait pas changé le film.

    Sur un élan de spontanéité ma décision fût, je me devais de l’abolir
    Peu m’importais les conséquences, elles ne pouvaient être pires…
    Je me devais de mettre fin à tous ces déguisements ;
    Je pris donc mon ultime courage et mis fin à cet affrontement.

    La mort me pris dans l’au-delà et rendit aveugles mes yeux
    Mon cri sur le pas de l’enfer la saisit de son ton si pieux,
    Elle se devait désormais d'accomplir mes envies,
    Et c'est ce qu'elle fit en arrachant de me mon être la vie.

    Pyramide et Moi
    (15/08/09)


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