•  Surprenante métamorphose ... avec Dadineangel

    Surprenante métamorphose

    Une plume d'aigle est tombée à mes pieds,
    Elle est venue interrompre ma fin de soirée.
    Le soleil l’a éclairé d’une teinte particulière
    Rendant ce moment original, éphémère.
     
    Une jeune fille a murmuré quelque chose
    Et la plume en jeune homme s'est changé.
    Les couleurs du soir le drapait d'un manteau doré,
    L'air était de parfums chargé d'amour et de passerose ...
     
    Cet immortel était là pour elle, cette belle demoiselle,
    Il l’avait attendu des siècles, métamorphosé
    En cet oiseau majestueux aux voluptueuses ailes,
    Car c’était leur destin, et nul ne pouvait le modifié.
     
    Pas même la sorcière marâtre,
    Pas même les sœurs qui, jalouses, les éloignèrent,
    Car il avait un cœur qui ne considérait pas le "paraitre" mais "l'être".
    Car il avait  un cœur aussi blanc que l'albâtre ...
     
    Ces deux tourtereaux n’avaient donc rien à redouter,
    Leur bonne fée veillait sur leur vie d’un air enjoué ;
    Sa protégée avait enfin trouvé son prince charmant,
    L’homme qui saurait lui donné tout plein d’enfants.

    Dans le blanc palais,
    Le silence s'est fait,
    On n'entend plus courir ...
    Que les souris... Et les rires.

    Dadineangel et Moi
    (03/11/09)


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  • Adieu prématuré ... avec Touteseule

    Adieu prématuré

    Je voue ma vie à la peine de ton cœur,
    Armant mes nuits des étoiles de douleur,
    Pour lire dans tes yeux des restes de joies,
    Je ferais mes adieux sans le moindre émoi.
     
    Je ne laisserai aucune trace d’amour,
    En jouant la faucheuse des tristes troubadours,
    La mort de mes pensées ne fera aucun éclat,
    Tintant la chute de notre histoire de son glas.
     
    Rien, tu n'entendras pas un bruit à mon sombre départ,
    Je quitterais tout sans laisser le moindre espoir,
    Et sur la tombe de notre histoire tu pourras lire
    Ces mensonges véridiques que j'aurais voulu te dire.
     
    Tes rancœurs à mon égard seront vaines, trop tardives,
    Tu ne pourras plus jamais rien lire en mon regard livide ;
    Car mes yeux seront clos, fermés à toutes lumières
    Qu’elles soient celles du jour, de la lune, ou de tes prières.
     
    Je laisserai choir sur le double tranchant de mon cœur
    La beauté de tes yeux aimants ; et quand sonnera l'heure,
    Tes tourments prendront enfin fin à l'aube d'un autre soir,
    Je laisserai tout derrière moi, jusqu'à l'aura de mon départ ...

    Les flammèches émises par nos anciennes passions ardentes
    S’éteindront fébrilement en mon cœur devenu cendres incandescentes
    Laissant mon corps sans vie, là, endormi paisiblement
    Sur le seuil de notre futur, libre de tous nos engagements.

    Touteseule et Moi
    (03/11/09)


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  • Envol fatal ... avec Pyramide

    Envol fatal

    Une éclaircie a soufflé le noir ambiant,
    Laissant transparaître le bleu de l’océan.
    J‘ai découvert au bord de cette falaise
    La beauté d’une mouette volant à tire-d’aile.

    Son vol de majesté m’emplit de sérénité
    M’ouvrant à la beauté de ses plumes diaphanes,
    L’éclair vif de ses prunelles enchanta mes regrets
    De n’être point oiseau et non humaine qui fane.

    J’aurai volé avec elle, partie loin de tout,
    M’échappant de ma vie devenue un vrai trou,
    Mais cela n’était absolument pas possible
    Vu mon insurmontable peur du vide.

    Vertiges angoissant me prirent au dépourvu
    Face aux précipices et ravins des anges déchus,
    Mes jambes à mon cou et mes ailes envolées,
    Esseulée de mes plumes je perds le fil de beauté…

    La mort, le grand envol était pourtant la seule solution
    Pour m’éloigner de cet homme aux multiples trahisons.
    Je me devais de le quitter, de rejoindre l’autre côté
    Alors malgré mes appréhensions, ce volatile m’aida à sauter.

    Le saut de l’ange n’était mon aspiration
    Qu’au terme de la chute en ce gouffre sans fond,
    J’y ai perdu des plumes telle Icare le preux,
    J’y ai perdu des larmes, pleurs sanglants et terreux.

    Pyramide et Moi
    (03/11/09)


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  • Douceurs sans faille ... avec

    Douceurs sans faille

    La mort t’a fauché sans prévenir,
    Me laissant seule, avec mes souvenirs ;
    Ils hantent mon esprit chaque jour,
    Afin de m’entourer de ton amour.

    Ton absence se fait de plus en plus pesante,
    Sur mes joues coulent encore des larmes brûlantes ;
    Lentement, les semaines s'égrènent,
    Mais mon cœur t'appartient quoi qu'il advienne.

    J'ai encore l'impression de sentir tes mains sur ma peau ;
    Qu'elles me caressent afin d'apaiser tous mes maux,
    Mais tout ça n'est pas réel, j’imagine ta présence
    A mes côtés, et cela ne fait qu'accentuer mon errance.
     
    Mon âme se noie dans un océan de doutes ;
    Pourtant, je le sais, je dois poursuivre la route,
    Continuer à avancer, à faire les bons choix
    Et faire en sorte que tu sois fier de moi.
     
    Mais rien n’est simple, je culpabilise ;
    Je ne sais, si je supporterais cette crise !
    Car en mon cœur et dans mon esprit, tout est saccagé,
    Et plus personne ne pourra les réparer, en avoir la clef.
     
    Tu étais mon présent, mon avenir ...
    Aujourd'hui, j'ignore tout de mon devenir ;
    Je ne sais de quoi sera fait demain
    Et même mon sourire est devenu incertain.
     
    Tout ce qui est sûr, c’est que tu seras à jamais en mon cœur,
    Tel l’écho me permettant de vivre sans de trop grandes douleurs.
    Ta quintessence coulera toujours en mes veines,
    Tout comme elle le faisait autrefois dans les tiennes.

    Princesse-des-cieux et Moi
    (03/11/09)


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  • Crépuscle : instant enivrant ...

    Crépuscle : instant enivrant

    La nuit a bercé mes envies de bonheur,
    En laissant entrer sa joie en mon coeur.
    Elle a parcouru ma peau de ses caresses ;
    Afin de m'enivrer délicatement de sa tendresse.

    Nuit si douce et si belle,
    Tu m'enveloppes dans tes draps de dentelle.
    Les yeux perdus dans le vague, je me laisse aller,
    Aux douces rêveries d'un amour passionné.

    La lune au tendre et chaleureux sourire,
    M'a délicatement embrassé avant de partir,
    Au pays des songes, elle m'a convié,
    Afin que ma vie devienne un conte de fées.

    Des étoiles plein les yeux,
    Sur le chemin d'un monde merveilleux,
    Le coeur battant et le corps frissonnant,
    J'aperçois mon prince sur son cheval blanc.

    Ensemble, nous allons vivre pour l'éternité ;
    Mêlant l'allégresse à notre vie de pureté.
    Rien ne nous séparera, la lune y veillera,
    Tel l'astre de notre amour conduisant au nirvana.

    Sylounette et Moi
    (03/11/09)


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  • Berceuse envoûtante ... avec Refletpoetique

    Berceuse envoûtante

    Un son mélodieux et apaisant
    Émane de ce grand arbre chantant ;
    Les pieds cachés dans la verdure,
    C'est ça les secrets de la nature.

    Un soleil lumineux et éclatant ;
    Bercé par le chant des oiseaux,
    Guident les voyageurs errants,
    En quête de source d'eau.

    Un petit étang et sa rivière
    Au fin fond de la clairière,
    Attirent souvent les petits lutins
    Qui jouent avec les jeunes lapins.

    Dans la forêt, quelques champignons jaunis,
    Je les cueillerai avec toi chère amie ;
    On escaladera toutes deux les monts,
    A la recherche des fleurs de l'inspiration.

    La flore est une source intarissable
    Pour éveiller la curiosité et l'écriture,
    Alors viens vite avec nous dans les pâtures
    Sans t'être soucié des traditions au préalable.

    De ta beauté : on puise notre bonheur,
    Tu es la source inépuisable de vie.
    Une brigade de poètes fascinés par ta splendeur,
    Illumine nos vies par leur magie.

    Alors venez fées et korrigans talentueux,
    Venez mélanger vos plumes en ce monde fabuleux.
    Vous verrez ici tout n’est que beauté et pureté,
    Vous serez sûrs d’y trouver votre dose de gaieté.

    Refletpoetique et Moi
    (03/11/09)


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  • Douceurs d'amitié partagée ... avec Sylvain

    Douceurs d'amitié partagée

    La lune m'a montré le chemin vers ton coeur,
    Elle a éclairé cette petite porte dorée ;
    Celle dont la serrure m'était fermée à clef,
    J'y ais ainsi découvert toute ta grandeur.

    Un jour, tu m'as offert la lune en cadeau,
    Portant mon coeur de ta bienveillance,
    Et aujourd'hui encore m'en reste le halo
    Cultivant mon sourire de ton appartenance.

    La lumière s'échappant de tes yeux azuré
    A su me rendre l'éclat de ma vie passée.
    Elle a permis à mon amour de se matérialiser
    Telle une rose s'épanouissant à l'aube, à la clarté.

    Dans la puissance poétique de la florale déesse,
    Nimbée des perles de l'astre au large sourire,
    S'unissent nos âmes en écrits contant la liesse
    Pour que nos coeurs, liés de tendresse, voguent vers l'avenir.

    Tel le funambule marchant sur la traine des étoiles filantes,
    Tu m'emmènes vers des contrées divines, enivrantes.
    Tes mots me bercent, me calment et me bouleversent
    Tout comme le ferais les larmes qu'un enfant verse.

    J'ai souvent rêvé d'un ange, au regard d'éternité
    Et ma plume a souvent décrit la tendresse qu'il m'inspirait.
    Te voila aujourd'hui, doux aura scintillant, à mes côtés
    Et mon coeur s'élève, sous le règne d'un sourire partagé.

    Sylvain et Moi
    (01/11/09)


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  • Tendre cocon ... avec L.

    Tendre cocon

    Sortant de mon cocon tel un papillon,
    Je me suis découverte cette passion ;
    En votre compagnie, j'ai fait mes ailes
    Et aujourd'hui, ici, je suis à mon aise.

    En ce lieu, restes y sans crainte,
    Ici, point de brutale étreinte,
    Seule, l'Amitié y fleuris ...
    Les Poètes sont tes Amis.

    Ayant vécu avec vous mon grand envol,
    A votre ciel, je donne le monopole.
    Le regard vers vous, mes étoiles,
    Tout devient clair, se dévoile.

    Garde ta plume dans la main,
    Tu y toucheras le divin.
    Par les mots, laisse-toi bercer,
    Dans cette émotion retrouvée.

    Entre nous, les liens sont réels
    Comme ceux de la Terre avec le Ciel.
    Alors n'hésitez pas à entreprendre ce voyage
    Vous ne pourrez pas être déçus par le paysage.

    Aux quatre mains, main dans la main,
    S'envolent nos esprits sereins
    Dans le rêve, univers feutré
    De tous ces duos d'Amitié.

    L. et Moi
    (01/11/09)


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  • Perfection des âmes ... avec Faux-pas-faire

    Perfection des âmes

    Dans la terre sainte de vos divins dons,
    Couleurs d'arc-en-ciel et chants d'antan ;
    Un pays de merveilles, je m'y suis endormie ;
    Dans vos rêves, j'aurais aimé passer ma vie.

    Perdu dans votre monde de douceur colorée,
    J’ai succombé à vos perles de tranquillité ;
    Elles m’ont envoyé en une contrée poétique
    Emplit de joyeuses créatures mythiques.

    Tel un petit bébé en larmes, sourit
    Des vers, mélangés de joie et de mélancolie
    Dans votre petit îlot, je me suis évanouie
    Eprise par vos merveilleux délices bien mûris.
     
    Vos fruits délicats et charnus m'ont enchantés,
    Comme une enfant espiègle, je n’ai pu y résister.
    Leurs parfums sucrés effleurant mes lèvres
    Sont pour moi de purs plaisirs sans trêves.

    Des pensées libres, des plumes se mêlent,
    Des stars brillant de mille étincelles.
    Poèmes aux mille couleurs et mille odeurs
    Font bercer les cerveaux et les cœurs.

    Faux-pas-faire et Moi
    (29/10/09)


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  • Envies et désillusions ... avec Takasashi

    Envies et désillusions

    Je voudrais avoir les mots qui le feraient rire, qui lui feraient oublier,
    Je voudrais avoir les mots comme ceux qu'il a toujours su trouver ;

    Je voudrais l'apaiser de ces maux, les douloureux, les malheureux ;
    Mais moi ... moi, les mots ils sont fâchés avec moi !
    J'aimerais pouvoir le consoler, l'entourer de mon amour,
    J'aimerais pouvoir le prendre dans mes bras chaque jour ;

    J'aimerais qu'il ressent tous mes sentiments à son égard ;
    Mais rien de tout cela se passe ... je reste là, sans pouvoir l'aider !
    La distance ne nous sépare pas, elle nous tue, nous tait ;
    Elle fait de nous des gens bien autre que ceux qu'on était.

    Je l'aimais et je lui l'ai dit, mais pour lui cela ne suffisait pas,
    Je l'aimais, mais il est parti, m'a fuit, a fini sa vie trop loin d'ici !

    Takasashi et Moi
    (27/10/09)


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