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Par MiniMots le 7 Janvier 2014 à 16:02
Astre de ma vie
J’ai glissé dans les vagues de tes yeux,
Elles étaient bleues, turquoises telles cet océan majestueux.
J’ai ricoché tel un galet à la surface de ton âme
Et découvert tel un trésor, sous l’onde ta flamme.
J'ai été ébloui par la grâce de ton sourire,
Qui comme la lune illumine de sa clarté mes souvenirs.
Jours et nuits n’avaient plus d’importance,
Seule l’éternité suffisait à ma transe.
Le soleil enfermé en ton cœur
A chassé le noir qui rongeait mon bonheur.
Tes iris abritaient des étoiles multicolores
Scintillement discret dévoilant ton cœur d’or.
L'amour a repris le dessus sur la peine
Grâce aux halos de joies coulant en nos veines
Nos sentiments ont vaincu l’ardeur de notre Enfer
Les astres ont guidé nos pas sur la voie de l’Ether.
Nos pleurs se sont enfouis en d'autres contrées
Ils ont disparus très loin de là où nous avons accosté.
Nos peurs se sont envolées en un autre univers
Sur le souffle élégant d’un air d’une autre ère.
Le passé est bel et bien dissout, abolit ;
Nul ne pourra plus séparer nos âmes en cette vie.
Flammes et ondines seront notre tendre osmose
Mariées en notre bonheur, somptueuse apothéose.
Pyramide et Moi
(15/08/09)
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Par MiniMots le 7 Janvier 2014 à 16:01
Emotions du passé restant trop présentes
On m'a souvent dit que le temps atténuait les peines,
Mais pour moi il ne fait que resserrer les chaînes,
On m'a dit aussi que le temps pansait les blessures,
Qu'il résistait aux mauvais temps et aux éclaboussures.
Mais aujourd'hui le passé a baissé son masque,
Il s'est insinué en mon coeur comme une bourrasque,
Et mes peines ont resurgis hors de l'abri de leur serre,
Elles étaient pourtant bien enfouies quatre mètre sous terre.
Les larmes de rosée qui roulaient sur ces pétales
N'étaient que poussière en ce monde qui se dévoile.
Les rayons de la nuit, ont laissé place à ceux du jour,
Ils se sont ensuite enfuis, ainsi que notre amour.
Le temps a suivi son interminable mouvement,
En nous laissant esclaves de notre attachement
Mon amour a péri en même temps que mes larmes,
Après m'avoir tant meurtri, j'ai rendu les armes.
Désormais, je ne suis plus maîtresse de mes cris,
Chaque jour, une nouvelle cicatrice apparaît dans ma vie.
J'essaie tant bien que mal de retenir ma peine,
Qui me sera pourtant fatale à l'ombre de ma haine
Les heures filent sans que je puisse les compter,
Mais restent mon unique repère vers la réalité
Et les souvenirs qui me broient s'atténuent peu à peu,
Dans mes larmes je me noie, comparant l'amour à un jeu.
Une sorte d'amusement qui s'est fini bien trop tôt ;
Car tu as abandonné mon coeur, il n'est plus que lambeaux.
Ma colère est partie, ne restent désormais que de doux souvenirs,
Mon amour a lui aussi péri, j'en ai eu assez de souffrir ...
A présent, j'occulte le passé et l'avenir de ma mémoire
Je ne garde qu'une page écrite dans un grimoire.
Je referme le livre de mon destin dans une dernière larme,
En y rangeant tout mon chagrin avant de le jeter aux flammes
Etoilebleue et Moi
(27/06/09)
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Par MiniMots le 7 Janvier 2014 à 15:58
Verdict fatal
Mr Le Juge a enfin rendu son verdict,
Tu vas devoir passer plusieurs années dans une crypte
Car la prison sa serait trop bien pour toi !
Il faut que tu vives seul, juste avec toi ...
C’est contraire aux droits de l’homme !
Eh ! Toi ! La ferme sinon je t’assomme !
C’est vraiment elle la meurtrière,
Qu’on la brûle, qu’elle aille en enfer !
Mais non, t'en fais pas c'est légal,
D'ailleurs la preuve, c'est pas moi qui a choisis.
C'est le roi du tribunal qui te condamne ainsi,
Il n'y aurais que moi, on ferait un combat à la loyal ...
Eh ben combattons-nous loyalement alors,
Alors nous verrons bien qu’ils ont eut tort,
Ensuite un roi dans un tribunal n’existe nullement,
Alors avoue que t’étais sous sa table avant le jugement !
Non non, je ne me cachais pas pour tout entendre
Car leurs dialogues, je n'aurais pas pu les comprendre.
Pour ce qui est du combat, très bien, je suis d'accord,
Je vais chercher mon épée et ont commencent le corps à corps
Tu sais qui je suis au moins petite garce ?
Je suis un descendant de Silver le guerrier,
Et non ce n’est vraiment point une farce,
Ton corps, en deux, je saurais le trancher !
Oh ! Mais ne te fies pas à mon allure !
Moi aussi, je sais me battre, c'est ma passion,
Les chevaliers, je leur mène la vie dure,
Ils prennent souvent peur devant ma précision.
Toi ? Mais regarde donc ta carrure !
Une mouche aurait plus d’allure !
Ton épée tu sauras la tenir en main ?
Sinon tu dis j’en ai vu en plastique au magasin !
Et voilà, tu ne regardes que les apparences,
Mais, ce que tu ne sais pas, c'est que j'ai une grande aisance
Et lors de défis, je sais me défendre, me battre
Je n'ai point besoin être musclée pour combattre
Les apparences m’importent peu,
J’ai la réalité sous les yeux,
Si je te souffle dessus tu voles,
Alors soumets-toi et fais pas de fariboles ...
Jamais, je n'abandonnerais la partie,
Je préfère encore mourir lors cet affrontement
Plutôt que partir en te laissant triomphant,
Et gagnant de l'estime de mon pays.
Soit, je suis d’accord mais tu l’auras voulu,
Ne viens pas dire que je ne t’ai pas prévenue,
Alors mets-toi en garde pour commencer déjà,
Car moi je n’ai pas toute la journée tu sais ça ?
Eh ben, j'en avais marre d'attendre, il était temps !
Voilà, je suis prête, je vais lancer le premier assaut...
Ah mais non, j'suis bête, je ferais mieux de ne dire mots
Sinon, tu vas connaître toutes mes attaques avant ...
C’est bien maintenant arrête de gesticuler comme une bique,
C’est censé être un duel et pas un balai de danse classique,
Regarde j’ai fais que lever mon arme et tu as déjà une entaille,
Alors laisse tomber tu as encore une fois perdu la bataille ...
Oh mais non, je ne m'avouerais pas vaincu,
C'est hors de question, jamais je n'ai perdu.
En plus contre toi, le petit tueur de moutons
La victoire est assurée, je vais faire un carton.
D’accord je vais continuer mes estocades,
Et de un ; voilà que tu tombes lamentablement,
Pitoyable ! Tu n’as même pas tenté une parade,
Et de deux tu me supplies où je fais gicler le sang !
Te supplier, mais pourquoi ? cela n'a aucune utilité ,
Car moi, je suis peut-être tombée, le cul par terre ;
Mais toi, c'est de l'intérieur que t'es abîmé, amoché
Ma magie a eu sur ton organisme un effet plus qu'éphémère.
Alors tu vas devoir mourir avant ma fin !
Je vais t’étouffer avec un os de mouton !
Il restera coincé et bonjour la suffocation !
Et nous verrons bien qui a été le plus malin !
Faut déjà que t'arrive à me le mettre dans la gorge
Et si c'est le cas, je me venge, je t'égorge ...
On va donc mourir en même temps,
Les autres devront prévoir deux enterrements.
Eh ben tiens voilà le coup fatal !
Meurs espèce de ... Espèce de chacal !
Ah et maintenant ? Tu fais moins la fière !
Et pour finir : te brûler comme une sorcière.
Voilà, je rends mon dernier soupir
Et ça sent le poulet grillé partout aux environs
Mais regarde-toi : tu as le coeur qui fait des bonds,
Ta vie de soi-disant chevalier n'est plus que souvenir.
Vaut mieux avoir des souvenirs,
Que de pitoyablement mourir !
Ensuite il existe des guérisseurs,
Qui sauront me rendre mon ardeur !
Silver1216 et Moi
(17/06/09)
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Par MiniMots le 7 Janvier 2014 à 15:51
Accords passé
Le poids de notre accord a fini par céder,
Toutes nos chances se sont évaporées,
Des gouttes de désespoir ont envahi ton corps,
Et dans ma mémoire flotte l'envie de te revoir
C'est si loin maintenant, à l'aube de nos souvenirs,
Et file a toute vitesse le temps, laissant périr mes soupirs,
Je regrette ces moments où l'amour était encore dans nos âmes,
Ce magnifique sentiment, qui m'a arraché jusqu'à ma dernière larme
Tout s’est écroulé, j’ai cru mourir mille fois pour renaitre enfin,
Mais chaque renaissance loin de toi, noircissait mon destin,
J’avais mal et j’avais froid, le mal de toi et froid loin de tes matins,
Loin de tout, de toi, de nous, et de tous ces souvenirs assassins.
Nos accords si vite passés n'étaient que fumée au vent
Je vois clair en ton jeu maintenant
Tu n'es en faite qu'un être ignoble et sans coeur
Et je redoute de te voir près de moi
Les heures auront beau passés et s'effilocher,
Je continuerai à graver en mon coeur ton adieu ;
Nul ne mettra fin à nos jeux dangereux,
Et je te retrouverai au-delà de notre passé.
J'ose jeter un regard du côté de l'espoir,
Et y retrouver dans le noir, ces sentiments illusoires,
J'ose rêver au renouveau d'une vie achevée dans les larmes
Et tenter en un adieu intemporel au tréfonds de mon âme
J’aurais beau espérer l’espoir de rompre avec mon passé,
Les souvenirs dans le noir reviennent sans cesse me hanter,
Et toutes mes larmes que je t’offre en sacrifice chaque jour
Ne contiendront jamais au fond d’eux la force de mon amour
Mon amour est maintenant au ciel perdu dans les cieux
Mais ma chair et mon coeur souffrent sur cette terre et rigolent au regard des enfers
Je n'ai plus la force de continuer, de trainer cette carne parmi les âmes esseulées
Alors je cours vers cette falaise qui me tend les bras, me promettant le repos éternel
Moi, Etoilebleue, Touteseule et Phonic.
(16/06/09)
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Par MiniMots le 7 Janvier 2014 à 15:44
Discussion anodine
Salut les amis, je peux m'incruster,
Ah moins que vous soyez trop occuper
Tous les deux à boire et délirer
Tout en vous étalant devant la télé.
Abordons un sujet sérieux,
Oh arrête ce regard mielleux,
Je disais donc un cas d'actualité,
Et ... Stop ! Ne commence pas à picoler !
C’est seulement de l’eau ne t’en fait pas
Moi, contrairement à toi, je ne bois pas,
Mais cesse donc de baver s’il te plait,
Tu vas finir par inonder le canapé.
Eh oh ! Vous m'entendez ?!
Je suis là, vous pourriez au moins me regarder,
Je vous parle, quand-même soyez polis,
Faîtes pas comme si, vous étiez seuls ici ...
Non, ne commence pas là dessus !
Je ne bois quasiment plus !
Ensuite il ne s'agit pas de bave,
Mais une substance un peu plus "grave" ...
Oh non ! Ne me dis pas quand même pas
Que tu as encore marqué ton territoire ?!
Tu ne bois quasiment plus, mais ce soir
Mon canapé est mouillé à cause de toi !
Bon très bien, je me tais, car vous n'entendez pas ma voix fluette ;
Mais sachez que je saurai me faire voir,
Et que vous finirez bien par m'apercevoir
Car, je vais pas rester tranquille et muette !
Ah tiens c'est pas à ça que je pensais,
Mais c'est beaucoup mieux finalement,
Mais ce n'est pas moi qui l'ai fait,
Mais toi ! Regarde c'est encore ruisselant !
Oh vraiment, tu ne pense qu'à ça !
Et après tu oses la traiter d'obsédée,
Mais c'est toi qui a les idées mal placées,
Alors arrête dont ce drôle de pugilat ...
C’est de ton coté que c’est trempé,
Je ne suis pas stupide tu le sais bien,
Je sais bien que c’est toi qui l’as fait,
Cherche pas à nier, nettoie et ne dis rien !
Comment veux tu que ce soit trempé ici,
Ça fait une heure que je fais des va-et-vient,
Donc si c’était moi ce serait sur le tapis !
Et non sur ce canapé tellement vilain !
Ferme la bouche quand tu parle s’il te plaît,
Tu pollues un peu plus l’atmosphère
La couche d’ozone à assez de problème tu sais,
Tais-toi et nettoie toute cette rivière !
Je nettoierai cette rivière,
Lorsque t’auras aussi essuyé
Tout l’océan qu’il y a par terre,
Et qui se trouve juste sous tes pieds !
Je peux vous aider si vous voulez,
Car moi, je suis neutre dans cette histoire,
Et j'espère que cela restera dans votre mémoire
Le jour où, ensemble, vous serez bourrés ...
Wahou ! Combien de bouteille cette fois ?
Tu n’sais même pas que ce sont tes pieds à toi !
Je croyais que tu avais presque cessé de boire ?
Apparemment, ça n’arrange pas ton regard !
Tu veux le voir mon regard, merdeuse ?
T’es vraiment qu’une chieuse !
Moi je voulais aborder un cas précis,
Et toi tout ce que trouve à faire c’est boire le whisky !
T’es vraiment de mauvaise foi quand tu t’y mets,
Non, je ne veux pas voir tes yeux loucher !
J’suis restée polie jusque maintenant, mais ça suffit !
Mon nez va finir par faire un malaise si tu restes ici !
Bon ça suffit maintenant toutes ces bêtises !
Tu penses pouvoir me manipuler à ta guise ?
Moi j’étais venu pour te parler d’un cas sérieux,
Toi ce que tu trouves à dire c’est : nettoie ce sol boueux…
Tu ne l’aurais pas sali, je ne t’aurais pas demandé ça,
Mais cesse donc de bavarder inutilement maintenant,
Un cas sérieux me disais-tu, je t’écoute, parle moi en,
Que se passe-t-il de si important pour que tu viennes jusque là ?
Oui oui, parle, nous sommes toutes ouïes, nous t'écoutons !
Qu'est-ce qui vaut dont la peine de ton déplacement ?
Toi qui prends si peu le temps habituellement
De venir prendre des nouvelles de tes compagnons ...
Ben j’ai compris votre manège, tueuses à gages !
L’une m’accuse de mener les bêtes à l’abattage,
Mais lorsque je te confie à l’autre mes moutons,
Elle les maltraite à mort : ELLE LES TOND !
J’ai été gentille, je voulais te rendre service,
Mais toi, tu n’as vraiment que des préjudices !
C’est pas moi qui les faits explosés dans un champ de mine
Alors cesse donc de m’en vouloir pour cette tondaison anodine.
J’ai été innocenté pour cette affaire !
C’est Mona la meurtrière !
D’ailleurs je vais la laisser plaidoyer,
Afin que tu puisses voir sa culpabilité !
Bon enfin, je vais pouvoir me faire comprendre,
Vous allez finalement m'entendre !
Il était temps, j'en avais marre de vos détournements de regards
Maintenant, vous allez m'écouter même avec vos yeux hagards ...
Alors là, non, je ne suis pas d'accord, je crie à l'objection !
Je t'avais juste fait un cadeau, et toi pauvre nigaud,
Tu as sacrifié ce doux et tendre agneau,
Histoire de repeindre ta maison suite aux détériorations !
Tu as voulu m'escroquer, presque me ruiner,
Et même si tu as gagné le premier procès,
N'aie crainte, comme promis lors de cet échec,
Je ne vais pas rester sur cette défaite ;
J'ai déjà prévu mon avocat,
Et Zeynep témoignera ;
Car elle connaît toute l'histoire en détails,
Sans oublier toutes tes petites failles ...
Oui ! je suis tout à fait d’accord avec toi ma Bou !
Il assassine tout c’qui bouge ce meurtrier sans cœur !
Tout ça pour repeindre sa façade avec les organes et tout,
Quel imbécile s’il croit nous berner avec ses pleurs !
C’est à toi que j’m’adresse, l’ami bourré,
Arrête avec la bouteille et va te préparer,
On compte bien te faire payer tout c’que t’as fait,
Et même t’enfermer pour cause de folie préméditée !
Je n’ai pas peur de vous deux croyez moi !
Mon avocate vous taillera en pièce !
Toi et l’autre miss Tièsse di bièsse,
Et de tous vous serez désignées du doigt !
Désignée car ayant compris votre mascarade,
Vous chercher à froidement m’assassiner,
Vos sourires envers moi ne sont qu’une façade,
Et c’est pour ça que vous serez accusée !
Voilà que maintenant, tu vois le mal partout,
Tu as vraiment un manque de confiance en nous !
Ma Folle a raison, si tu continues on va t'enfermer,
Te faire passer pour fou, « bon à exiler » ...
N'aie crainte, tu t'y feras pleins d'ami(e)s,
Car là-bas, tout le monde s'ennuie,
Donc avec tes histoires, tu les distrairas,
Ils auront une impression de « Liberta »
Allons allons que se passe-t-il ici ?
N’avez vous point fini tout ceci ?
Pour juger il faut savoir témoigner,
Vous ne faites que beugler !
Laissez-moi donc m’occuper de cet odieux crime
Et placer correctement mes rimes
Car vous filles sournoises et perfides
Ne cessez de rendre à ce pauvre gosse la vie aride.
Qu’est-ce que tu fais dans mon salon toi ?
Et pourquoi étais-tu cachée sous mon canapé ?!
C’est donc toi qui as mouillé partout c’est ça ?
Chut ! tais toi ! et ferme la bouche, tu vas tout polluer !
Non, Kévin ne beugle pas, il bêle ; et crois moi
Ce n’est pas du tout pareil que ce que tu as dis toi,
Car au fond, il a peut-être mangé le reste du mouton
Beurk ! ASSASSIN ! Il devrait être en prison !!
Je n’ai pas touché à ton mouton puant,
En plus je n’aurai pas pu avec ces morceaux gluants,
Et le pauvre gosse tu sais ce qu’il te dit ?
Purée c’est pire que le moulin rouge ici !
De toute façon je ne dirai rien sans mon avocat,
Je me demande bien pourquoi il n’est pas encore là,
Et je plussoie les écrits de la miss cachée sous le canapé,
Mais maintenant j’exige des excuses pour avoir été accusé
Des excuses ? Et puis quoi encore ? Tu squattes ici sans permission,
Toi, l’assassin, le meurtrier, le tueur de mouton professionnel !
Et tu oses demander, que dis-je ? EXIGER des excuses sans raison ?
Et en plus, tu cherches une avocate, mais n’est-ce pas justement elle ?
Cette jeune fille qui au fond, a elle aussi des racines bestiales,
Tu ne le savais pas hein ? Mais ton avocate est assez tribale !
Allez, ça suffit maintenant, nettoyez ce bazar, et enfermez ce fou,
On ne va quand même pas faire un tribunal ici, ça n’ira pas du tout…
Cela suffit maintenant ! Taisez-vous donc charognards !
Ou je vous enferme, pour diffamation, dans le placard !
Le pauvre gosse est tout trempé, oh mon dieu !
Laissez ces bouteilles et vous irez bien mieux !
Je dormais paisiblement sur ce canapé douillet
Mais la « flotte » m’a dérangée, avec vos pots cassés.
Fille indigne présentez vos excuses au pauvre gosse
Si vous ne voulez partir séance tenante droit dans la fosse !
On ne diras rien à ce pauvre petit, car c'est lui le coupable,
On va pas lui présenter nos excuses, faut pas croire aux miracles !
Ca existe pas toutes ces choses, alors emmène-le avec toi, si tu veux
Comme ça, il nous fichera la paix, et toi et lui vous filerez un amour bienheureux ...
Mais pour qui tu te prends toi ? Tu t’incrustes chez moi !
Sortez tous d’ici ! On se reverra devant messieurs les juges !
Ça suffit maintenant, j’en ai marre de toutes vos ruses !
DEHORS vous dis-je ! Imbéciles mangeurs de mouton explosé !
Et fermez bien la porte après vos départs, idiots contemporains,
Il manquerait plus que je sois enrhumée et très mal en point,
Si c’est ainsi que vous compter gagner le procès, n’y comptez pas !
Et qu’importe le canapé mouillé, je compte bien vous le faire payer !
Silver1216, Touteseule, Moi et Pyramide
(05/06/09)
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Par MiniMots le 7 Janvier 2014 à 15:35
Toi + Moi = Amour inconditionnel
Ton amour me donne confiance en moi,
Même si nos pas ne se rejoignent pas.
Ton coeur bat contre le mien,
Alors que l'océan les disjoins.
Personne ne peux comprendre notre passion,
Tandis qu'ont entrevoient notre futur à l'horizon.
Nul ne sait ce qui se passe entre nos âmes,
Car même nos esprits ignorent nos lendemains.
Je déraisonne peut-être,
Mais je t'aime de tout mon être,
Même si notre amour peut être interdit :
C'est un détail, tu es celui que mon coeur chéri.
Si tu as confiance en moi, prends ma main,
Et ensemble nous serons enfin un
Pour marcher dans le même chemin,
Et finir nos vies main dans la main.
Je crois vraiment en notre histoire,
Mais je t'en prie, toi : fait-le moi voir ;
Car tes paroles sont bien belles,
Mais je veux aussi des preuves matérielles.
Se ne sont pas des caprices, je ne te demande pas des folies,
Mais juste que tu me prouves que je compte dans ta vie ;
Cela est important à mes yeux, ainsi que pour mon coeur,
Car il a besoin de sentir de ta part un peu plus de chaleur.
Je veux oublier les souffrances du passé
Qui ont, au plus profond de moi, blessé
Mon être encore pur et innocent
Qui ne demandait rien, évidement
On ne choisit pas toujours la vie,
Certes mais là c'est moi qui est choisi
De t'avoir chaque instants à mes côtés
Pour te dire combien je peux t'aimer.
Evy et Moi
(30/03/09)
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Par MiniMots le 7 Janvier 2014 à 15:32
Rêve d'amour sans embûche
Songer à tous nos prochains plaisirs,
Garder en moi le moindre souvenir,
Rêver de toi, de ce nous futur :
C'est mon quotidien sans ratures.
Rêver de vivre au bord de la mer,
Prêt à voyager n'importe où,
Que les pays restent sans frontière,
Et le monde devient à nous.
Pour toi, mon amour est sans limites,
Avec toi, je veux prendre la fuite.
Quitter ses terres de malchance,
Ne plus vivre en pleine errance.
Partir loin pour vivre nos fantaisies,
Seul mon ange et moi au paradis.
Oublier ainsi les sales songes,
En les absorbants comme le fait l’éponge.
Rester entre nous, ne voir personne,
Laisser au loin nos pas qui résonnent.
Ne se préoccuper que de notre devenir,
Et tout faire pour avoir un beau et long avenir.
Vivre, mourir et enterrer en paix :
Le besoin d’amour est déjà satisfait.
Laisser le concret et vivre le parfait
Car le monde est déjà imparfait.
Nabil et Moi
(29/03/09)
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Par MiniMots le 7 Janvier 2014 à 15:29
Mon coeur est mort : Adieu mon aimée
Mon cœur est en cendre,
Oublié les flammes qui le consumaient
Naguère, il est bel et bien détruit.
Charmé par la sensualité de ton âme je le fus,
Oser goûter ces lèvres que je pensais innocentes,
Emporter en d’autre monde par un simple regard,
Usurper le bonheur auquel je ne pouvais prétendre,
Renaître à l’amour entre tes mains fût mon cauchemar,
Et aujourd'hui mon unique désir c'est de :
Succomber et de partir en un autre monde empli de douceur,
Tout en laissant derrière moi tous mes souvenirs d'antan.
Mes fantasmes, déclenchés par l’érotisme de tes mouvements,
Opérant en moi comme une alchimie passionnelle incontrôlable,
Résonnent encore en mon corps comme le tumulte d’une tempête,
Ténébreuse romance tu t’amusais du feu de nos désirs.
Avouer à mon coeur les plus troublants sentiments,
Dire adieu à ton si joli corps enchanteur ;
Il le faut : je n'ai pas le choix ; c'est irréversible,
Et je préfère encore mourir plutôt que de vivre
Uniquement avec l'âme errante de ta passion sauvage.
Mon sang frémi toujours à la vue de la sensualité de tes sourires,
Offrant sous couvert de tes œillades assassines l’audace de tes caresses,
Nourrissant la flamme de mon ardeur pour toi à jamais,
Autrefois, je voulait tout de toi : corps, coeur, amour ;
Illusoirement, je te croyais mienne pour toujours,
Mais l'amour sous un autre jour, un nouvel homme a sonné à ta porte
Et tu m'as quitté sans le moindre regret, sans chagrin,
Eclipsant ainsi de ta vie notre histoire, ce qu'aurait pu être notre bonheur.
Huoma66 et Moi
(24/03/09)
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Par MiniMots le 7 Janvier 2014 à 15:25
Appel à la confession
Laisse toi porter par le vent :
Oublie les frontières, les continents.
Laisse toi porter par tes envies :
Regarde au-delà de ce ciel gris.
Je te remercie pour tes conseils envers moi,
Mais tristement je ne peux pas faire comme toi.
Mes yeux ne peuvent percés ces nuages noirs,
Qui gâchent ma vie et me poussent au désespoir.
Tu sais la tristesse ne pars pas du jour au lendemain,
Il faut savoir être patient, et tendre les mains,
Car il y a toujours des personnes aimantes
Pour nous aider, nous soutenir dans la tourmente.
Malheureusement ma patience a des limites :
Trop de temps s'est écoulé sans que je n'oublie,
Pour que je puisse croire en une belle vie.
Mon coeur est rongé comme le feraient des mites.
Je sais que ton coeur a mal, qu'il pleure souvent le soir,
Mais crois-moi, tu peux me confier ton désespoir.
Tout ce que tu me diras, restera en moi,
Jamais, je n'irai crier tout ça sur les toits.
Lepoetedu42 et Moi
(12/03/09)
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Par MiniMots le 7 Janvier 2014 à 15:22
Confusions et envies d'un esprit troublé
Je me perds, je ne sais plus, je ne peux plus,
Tu me dis de magnifiques choses mais reviens dessus.
Je suis égarée, quelque part dans mes pensées
De toutes mes forces j'essaye de trouver la clé.
J'ai l'impression que tu te moques de moi,
Qu'au final : à tes propres paroles tu ne crois pas.
Je me sens abattue, perdue sur le chemin,
Je t'en prie, reviens pour me tendre la main.
J'ai besoin de te savoir à mes cotés,
A n'importe quelle heure de la journée.
Savoir que tout ce que tu m'as dit est vrai,
Et surtout que tu ne m'abandonneras jamais.
Je crois en notre histoire, en notre avenir
Mais n'oublies-tu pas tous ces petits plaisirs ?
Que nous avions ensemble au tout début,
Tous ces mots doux que tu me susurrais.
Ces petits gestes me manquent tellement.
Je voudrais qu'on se les donne jusqu'au firmament.
Si seulement tu pouvais m'entendre, me comprendre,
Si seulement, je pouvais recevoir tes mots si tendres.
J'ai envie de partager chacun de nos jours
De vivre avec toi : un très grand amour.
Alors laisse-moi t'aimer, te cajoler
Ne perds plus une seconde : viens m'embrasser.
Gwelawen et Moi
(12/03/09)
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